Evènement prometteur [PV Tegoshiki Yuya]

Yuya était vraiment un petit être innocent malgré ses aires courageux. Je sentais en lui comme un besoin d'être protégé et ce qui m'attirait chez lui et me donnait envie de l'aider, de lui donner ce soutien dont il avait besoin.

Le lendemain en me réveillant, le soleil brillait dans la chambre et j'ouvris les yeux, regardant les rayons dans ma chambre. Il faisait beau. C'était agréable. Je m'assis dans mon lit, petit séance de réveil comme tout les matins. Rester assis et se réveiller doucement jusqu'à ce que la force me vint pour me lever complètement.

Mais je me réveillais par autre chose. une douleur dans ma main me fit me plier en deux. Ça faisait longtemps que j'avais pas eu ça. CA restait douloureux. Je tirais sur mes doigts pour essayer de faire passer cette douleur et mordais sur mes dents le temps que ça passe. C'était juste passagère, ce n'était pas grave.

Je pris mes médicaments qui allait faire passer tout ça comme d'habitude.

J'ouvris mes yeux paniqué quand je sentais la douleur jusque dans mon épaule. une douleur bien plus forte que les autres que j'avais déjà eu.

Je me pliais encore plus et tenait mon épaule, touchant mon bras. Ça faisait mal.
Ce n'était pas normal. Je n'arrivait pas a faire passer. S'en est trop, j'en peux plus. J'avais besoin de lui, de son aide.

- yu..ya.... dis-je dans un murmure puis prit une grande inspiration et hurlait son nom YUYAAAA! !!!!!!!!!!!!

J'avais mal, j'avais besoin d'aide. J'attendais qu'il arrive.
- VA chercher... le médecin... Je t'en prie Yuya... va le chercher!!!

Je voyais presque plus due a la douleur mais je suppliait du regard embué de m'aider et je ne pu retenir des gémissement de douleur sortir. Moi qui n'avait jamais montré ma faiblesse a personne, cette fois, sera une exception. Je tenais mon épaule et fermait fort mes yeux. Putain! Qu'est-ce qu'il se passait!!!

Je m'endormis sur l'herbe et cru me faire bercer par une odeur que j'aimais tant… Tomo… Sauf quand plus aucune odeur ne vint m'envelopper, la je me relevais en sursaut, ou étais-je?

Je remarquais que j'étais dans "mon" lit… sans odeur…

Je souris en pensant qu'avant je ne portais pas d'importance à l'odeur…

-Et ça? Ca sens quelle couleur? demandais-je en désignant de la lavande.
-Mmmmh… blanc cassé avec des nuance de violet! répondit mon ami en rouvrant les yeux avec un grand sourire.

Sourire que je lui rendis.

Il avait accepté de me garder sous son abri de fortune alors qu'il pleuvait à verse et que mon maître m'avais à nouveau jeter dehors.

Pourquoi?
-Parce que le blanc cassé est apaisant et violet… surement parce que la fleur est violette, non? ricana-t-il.

Il parlait vraiment beaucoup, mais il était agréable… et généreux, même quand plus tard j'appris qu'il était cessé être mon ennemie je continuais à être son ami.

J'avais appris à porter une importance au senteur, même s je ne voyais pas leur couleur moi…

Je me levais de ce lit trop grand, trop froid, trop fade, pour me diriger vers le lit de Tomo, sauf que j m'arrêtais en le voyant si bien endormis, je soufflais avant d'installer mon coussin et ma couverture au sol, dormant à ses côté d'une certaine manière.

Je m'endormis directement… avant d'être réveiller par ses cris.

Je paniquais, mais suivit son ordre, allant chercher le docteur.

Quand on arriva dans la chambre il se jeta presque sur Tomo pour l'examiné, moi je restais planté là, je ne savais pas quoi faire…

Je le vit apparaître a côté de mon lit et il se précipita vers le médecin. Je restais un moment tremblant dans mon lit et gémissant de douleur. Mon bras jusque mon épaule me faisait mal.

Ils arrivaient et je sentais le médecin a mes côtés. Je pouvais pas me relever, j'avais trop mal pour me redresser et lui montrer.

- Tegishiki, j'ai besoin de toi. Fermes la porte a clé et viens!

Je redressais la tête, pour le voir sans mouvements a la porte. Le médecin me fit boire un truc essayant de me erlever.

- Putain qu'est-ce qui se passe!!
- Je sais pas. Couches-toi et donne moi ton bras. Tegoshiki, tiens li contre le lit.

Hein? Pourquoi me tenir contre le lit. C'était pas normal. Il me forçait a me mettre sur le dos et je du faire un effort monstre pour pas revenir a l'assaut de mon bras.

Il étendit mes doigts comme j'avais essayer de faire mais c'était fort crisper. Il y arrivait en forçant beaucoup et j'arrêtais pas de gémir. Il pris des aiguilles et je sentais que ce qui allait suivre n'allait pas me plaire du tout. Il enfonça l'aiguille dans les muscles de mes bras et je me redressait déjà pour lui en coller une. Ca faisait mal bon sang.

- Tu ressens encore la douleur alors ça va. Je suis désolé mais le problème de ta main remonte jusque ton épaule. Je peux plus rien faire. Ca va plus vite que prévu.
- Arrêtez vos conneries..et dites-moi ce.. que je dois faire!

Je tremblais et transpirait fortement. Il me répondit juste en me montrant mon médaillon.Oui c'est bon j'ai compris. Il piquait dans ma jambe et je fit un grand 'AIE' car je ne m'y attendait pa du tout. Il fit pareil dans mon épaule mais là ça faisait encore plus mal.

- Mais arrêtez putain!!

Je sentais ma tête tourné puis le trou noir.
Il m'avait endormis le salaud!

- J'ai du l'endormir, je sais pas ce qui cause sa douleur. Je te laisses avec lui. Il doit boire beaucoup et... courage. Essayes de faire baiser sa mini-fièvre aussi.

Courage pour le fait que j'allais surement être désagréable ou aggréssif a mon réveil Chouette comme nouvellea entendre qu'on ne peut rien faire du tout a mon problème. Oh c'est plus tôt que prévu. Idiot! Il aurait du le prévoir!

Il me disait juste d'aller voir Jin, a qui appartient le médaillon. Ben voyons. Je vais aller le voir et me faire mordre c'et une idée tiens. Bon ok, je peux aller le voir jute pour lui demander son avis.

Je paniquais, je ne savais pas quoi faire ! Quand le médecin me demanda mon aide, je ne réfléchis pas, obéissant à tout ce qu’il me disait.

Je fermais la porte à clef avant de m’installer près de Tomo et de le maintenir contre le matelas, y mettant tout mon poids, car y’a pas photo, j’ai pas autant de force que lui.

Tomo n’arrêtait pas de gémir, je ne savais pas quoi faire, je regardais le médecin avec panique alors qu’il m’intima au calme d’un regard. J’inspirais un grand coup, maintenant toujours Tomo contre le matelas. Quand il sortit la piqure je détournais la tête. Haaaan !!

J’aimais pas les piqures !!

Il essaya de se redresser mais je l’en empêchais en le tenant fort.

Je le vis très rapidement s'endormir. Un somnifère. Sympas le médecin!

J'acquiesçais à se qu'il me dit et quand il s'en alla je m levais pour prendre de l'eau et une serviette.

Je trempais légèrement le linge et l'apposa sur son front, je m'allongeais ensuite à côté de lui, me collant un peu pour absorber la fièvre.

Je changeais régulièrement la serviette, attendant patiemment qu'il se réveil, caressant doucement son bras valide.

Est-ce que ca allait aller pour lui? Je l'espérais…

Je me réveillais après je ne sais pas combien de temps un mal de crâne horrible venant me percuter.

Je grognait massant ma tête, enlevant la serviette posé dessus. Je sentais une chaleur a côté de moi et je ne du pas réfléchir très longtemps avant de savoir qui c'était.

- Dis-moi qu'il m'a frappé après m'avoir endormi, ce qui expliquerait mon mal de crâne et au moins je pourrais me venger en lui enfonçant une aiguille de 2cm de diamètre dans sa peau a plusieurs reprise.

Je massais ma tête des deux mains et regardait ensuite mon bras. Ah..... C'était moi où? Je la sentais a nouveau.

Je laissais ma tête tombé sur le côté et le regardait.
J'étais pas vraiment fière de ce que j'avais du montrer

- Ça va toi? Faut que je te soigne aussi. Bouges pas, je vais chercher de quoi le faire.

Avec tout ça j'avais oublier de le soigner lui aussi. Rholalal. Je suis vraiment un idiot je crois. Mais bon, même si il avait dû voir cette facette de moi, c'était comme ça et ça ne sera sûrement pas la dernière fois que j'allais avoir une crise comme celle là.

Je devais m'occuper de lui. Comme pour essayer d'échapper aux questions que j'allais surement recevoir. Je me redressais et ma tête tournait plus fort.

Ouhla. Pas cool le somnifère qu'il avait donné. Bon, pas le temps, faut le soigner.
Faut que je me lève.

Rolala, il avait pas l'air très très frais… Comme quoi les somnifère, ca assome!

-Personne n'aurait osez lever la main sur toi, tu le sais, même HS tu les met Ko, ricanais-je. Je pense juste que tu supporte mal les somnifère. Par contre je ne me porte pas volontaire, j'ai une sainte horreur des aiguille, va chercher le médecin, je suis sure qu'il adore lui!

Je ricanais un peu plus, essayant tout de même de ne pas rire à pleine voix, je détestais ma voix cristalline dans ces moments là!

Je le regardais avec des yeux rond quand il voulu me soigné. Heee? Mais j'avais pas besoin! Je devais encore laisser sécher deux jours avant de voir si la croute était belle!

Quand il se redressa je le retins.

-Pas besoin, je dois encore laisser sécher, tu veux pas encore un peu te reposer? J'ai l'impression que tu as la gueule de bois, juste cinq minute, histoire de te réveiller à ton aise, ne?

Je m'inquiétais. Je ne savais pas trop quoi faire, je voulais juste qu'il se repose encore un peu, j'avais une centaine de question sur son bras ne tête mais je n'allais pas l'embêter avec ça, c'était pas mes oignon.

Il me retins quand je voulu aller chercher de quoi le soigner et je me recouchais, soupirant mettant une main devant mes yeux pour la lumière.

- Je suis désolé Yuya... Pour t'avoir montrer cela. Normalement ce n'est que ma main...

Je croyais que jamais il aura a voir que je pouvais avoir mal comme ça a mon bras. Enfin normalement c'était que ma main, pas tout mon bras.

Je frottais sur mon bras et resoupirais grandement

- Je crois... que je te dois des explications... un peu...

Je redressais un peu pour vouloir m'asseoir mais abandonnait l'idée quand ma tête me dit de me recoucher et de pas bouger.

J'attendais un moment, mettant mes pensées dans l'ordre.

- Comme tu as pu le voir, mon bras n'est pas normal. Elle est a moitié paralysé. Il y a une raison a cela que tout le monde ignore sauf le médecin. Personne n'a jamais remarqué cet handicap a part toi. Tu es le premier. En fait... ça remonte a bien des années maintenant. A la mort de mon frère. En fait... C'est mon frère qui m'a fait ça.

Je dénudais mon épaule, caressant la cicatrice que je regardais, d'un regard absent, remontant dans mes souvenirs.

- Il m'a transpercé l'épaule avec son sabre pour me sauver la vie. Ce jour là, c'était moi qui devait mourir, pas lui. Mes parents ne savaient pas que j'étais aller avec lui dans le Royaume ennemi. Je l'avais accompagné car a ses côtés j'étais mieux que chez moi. Je n'étais pas beaucoup aimé de mes parents. Il donnait de l'attention a mes soeurs, vu comme fragile et a mon frère qui était l'héritier. Je n'avais pas beaucoup ma place. Je n'étais que le second, rien de plus. Ce jour là, on était dans la forêt et on se fit attaquer. Il me voulait moi, le fils, le seul frère de l'héritier, pour qui ce dernier ferait tout. Mon frère m'a aimé comme personne. Ce jour là, il se battait pour moi, trop jeune encore pour me défendre correctement. Ils étaient trop nombreux et .... Pour me sauver la vie, il.... Il m'a transpercé l'épaule, évitant de justesse un point vitaux. Je me souviens de ses excuses a mon égard de ce qu'il avait fait. Il se fi tuer a ma place le matin qui suivait, les autres m'ayant laisser pour mort dans la forêt, du sang partout. Je fus recueillit par des villageois qui me soignait et je vis mon frère se faire exécuter devant mes yeux, par leur fenêtre. C'est d’ailleurs ce jour là que mes yeux sont apparus.

Je m'assis a moitié avachi dans mon lit et touchait mon épaule ainsi que laissant mes yeux changer de couleur.

- Mon frère a été tué par ma faute et par sa faute je vis avec cet handicap qui me ronge. En rentrant a mon Royaume, la guerre avait été annoncé, j'étais pris en charge en urgence par le médecin... Le pire de tout, c'est que c'est a ce moment là que j'ai commencer a haïr mes parents. Personne ne pouvait parler de sa mort et moi.... Il n'avaient même pas remarquer mon absence durant plus de 10jours. Ils n'ont pas vu que leur deuxième fils avait été longtemps absent dans le château, que j'avais été gravement blessé, que mon changement de caractère et d'humeur était en parfait coïncidence avec sa mort.... Rien. Le médecin m'aidait a la rééducation et je me débrouillais pour le reste. Je ne sais pas écrire, je ne sais pas manger avec des baguettes. Je ne ressentais pas beaucoup sauf si on mettait un peu plus de force dans le toucher, je ne sais utiliser ma force, tenir des chose de ce bras là. J'ai changé a partir de ce jour là, complètement. Comme tu l'a vu aujourd'hui, j'ai des douleurs inexpliqué, a la main normalement, mais cette fois, tout mon bras a fait mal jusqu'à l'épaule. =======Le médecin l'autre jour m'a dit que... Il ne pouvait plus rien faire. J'étais condamné a ne plus avoir de bras. Quel soit complètement paralysé. Pour le moment, elle bouge encore et je ressens encore les touchers mais j'ignore pour combien de temps encore....

Je fit une pause dans mon explication, me recouchant dans le lit, mettant la serviette moi-même sur mon front

- Voilà tu sais tout maintenant. J’apprécierais si tu gardais tout cela pour toi. Ne le disant a personne. Même a Himiko si elle te demande quelque chose. Tu sais malgré ce qu'il m'a fait je.... J'abatis tout de suite ma main sur mes yeux, essayant de retenir le trop plein d'émotions que je ressentais face a sa mort que je me remémorais. MAlgré l'handicap qu'il a causé chez moi... Je ne le haïs pas. Je l'aime toujours autant et ça m'est douloureux de ne pas juste pouvoir le blâmer pour ce qui m'arrive.

Maintenant il savait tout. Il n'y avait que Jin, qui m'avait sauvé et tout vu et le médecin qui était au courant pour tout ça. Je trouvais qu'il avait le droit de savoir. Il était mon valet, j'avais un lien fort avec lui alors... Il pouvait savoir. Il comprendrait surement beaucoup de mes réactions maintenant. Et puis comme il am'avait dit, on ne mens pas a un enfant. Ce qu'il était encore.

Je l'écoutais patiemment… C'était triste! Et horrible de la part de ses parent!

Je ne savais pas quoi dire… Juste…

-Merci… de m'avoir dit… Ca à dut être dure… Je… je me ses un peu bête, je sais pas quoi te dire, des mot comme "ca va aller"… je peux pas, car je ne sais pas si ca va aller… Je ne dirais rien, je ferais en sorte d'éviter que la discutions ne dévie sur le sujet parce que tu le sais je ne mens pas au enfant, ils sont ceux qui comprennent le mieux et peuvent tout changer… Merci…

Je me rallongeais à ses côtés et lui caressa le bras… pendant un long moment je restais sans parler, attendant qu'il se sente mieux.

-Dis… hésitais-je. -Tu veux bien… me donner un entrainement au sabre?

J'avais demandé ça d'une toute petite voix, vu que j'avais déserté à la séance précédente… Peut-être qu'il ne voudrait pas…  Et puis il était surement encore mal.

-Euuh, nan, oublie, une autre fois, je veux pas te surexploité… marmonnais-je, embarrassé.

Je ne pu répondre que 'Merci' a ce qu'il me répondait a mon explications .Il n'y avait rien de plus ni de moins a dire.

Il caressait mon bras et je fermait les yeux pendant tout le moment de silence, profitant du fait que je ressentais encore quelque chose et il était doux, c'était agréable.

Il me demandait ensuite si je voulais bien lui apprendre a magner un sabre et je redressais ma tête pour le regarder.

- Et c'est le déserteur d'entraînement qui me demande ça?

Je ris un peu me recouchant et essayait de contenir mon rire quand même. C'était bien drôle. Il me dit d'oublier de pas vouloir m'exploité et je lu lançait comme dans mes habitude une bonne ... dose d'humour.

- Tant que tu sais que m'exploites tout va bien alors.

Je ris un moment, l'emmenant près de moi pour le serrer dans mes bras. un vrai gamin quand il s'y mettait.

- Je vais t'entraîner mais a la première tentative de fuite, je t'attaches a la roue et tire au tire-a-l'arc a l'aveuglette. Et puis... Laisses-moi dormir encore un peu. Je crois qu'il m'a un peu drogué l'enfoiré qui nous sert de médecin.

Je fermais les yeux, écoutant son coeur que j'entendais et essayant de dormir un peu. Je ne restais pas longtemps allongé, juste de quoi faire taire mon mal de tête puis le prévenait que c'était bon, qu'on pouvait se lever.

Je me levais et m’habillais un peu encore dans les vapes, ratant un bouton. Oups. Rah! Tant pis. J'ai pas envie de recommencer. Ils n'ont qu'as dire que je me suis lever du mauvais pied et que j'ai pas envie de faire d'effort d'habillements.

On partit vers l'endroit où on donnait des entrainement et pris mon sabre, la mettant sur mon dos, galérant a nouveau avec le noeud. Bon maintenant il savait pourquoi je galérais avec tout ça. Je fit le noeud et mis mon sabre correctement, le sortant de son étau et lui demandait de prendre un sabre aussi.

C'était Jin qui m'avait appris a me battre avec un sabre et même sans. Il en avait passé des ères lui et il avait une façon de se battre imbattable. il me l'avait appris pour que je puisse me défendre seul contre beaucoup de personne.

Je lui montrais comment positionner ses pieds pourra voir un bon équilibre en toute circonstance et lui montrait en l'attaquant ce que ça faisait si on était dans certaines positions avec ses pieds. Au moins comme cel ail voyait l'importance des pieds. Je l'appris ensuite a utiliser sa force tout en utilisant celui de l'adversaire contre lui Car dans l'art du sabre ce n'est pas seulement la force mais la ruse et contré l'autre par surprise qui est efficace.

Après tout cela, je lui apprenais les bases de comment contrer et attaquer. Comme positionner son sabre comme il le fallait pour éviter qu'il se brise, pour éviter de recevoir son propre sabre a la figure.

Malgré toute les détails a savoir, se battre était pas très facile avec un sabre. Il fallait faire attention a beaucoup de chose en même temps. Voir comment gérer l'état de l'autre en face, son point faible a trouver et utiliser contre lui, puis voir de pas briser son sabre, a contrer comme il fallait une attaque etc.

Je l’attaquais ensuite sans trop utiliser mon habilité pour qu'il puisse apprendre, malgré les fesses souvent a terre, comment contré une brute, une rusé et d'autres personnes. Moi, c'était un maniement plus spécial, rare sont ceux qui me battait. Un seul pour le moment. Jin. Vu que c'est lui le maître des sabres dans le temps. Qui avait créer tout un art de se battre avec. Bah oui, vu ses nombres années a perdre il a bien réussit a remplir ses journées.

Ce qui est bien avec Yuya c'est qu'il était du genre, mémoire visuelle donc ça ira vite. Ma technique il saura pas la faire car ce n'est pas que de la vision qu'il fallait. Et puis fallait quelques années et des sueurs pour arriver a ce que je savais faire. Si il savait se défendre c'était bon. Et si il arrivait a blesser son adversaire pour partir loin loin, encore mieux.

Je tournais les yeux de côté à sa réplique. Roooh! Pas ma faute si chibi-hime était de retour juste le jour ou il voulait m'entraîner quand même!

-Oh mais je en te rend que la monnaie de ta pièce, tu m'exploiterais pas d'abord je ne le ferais pas ensuite! le taquinais-je avec un sourire en coin.

Raaah! J'y pouvais rien! J'adorais l'ennuyer!

Il me serra plus fort dans ses bras et je lui rendis son étreinte, rougissant légèrement.

Gloups… Je suis prêt à tenter le coup!

-A ton aise, lui dis-je gentiment.

Il n'y était pas aller de main morte ce bougre, il l'a pris pour quoi? Un cheval?

Je patientais, caressant ses cheveux quand  il se leva, essayant de s'habiller…sauf qu'il loupa un bouton.

Je le mis face à moi et défit sa chemise pour rattacher les boutons correctement.

Il m'emmena ensuite vers le terrain d'entraînement ou ses solda… glandouillait… je ne voyais pas d'autre mot pour décrire ça…

Il attrapa son sabre et l'attacha dans son dos, je le regardais se démener, mais devant ses soldats je ne préférais pas l'aider…

Il me dit de prendre une arme et je me dirigeais vers le présentoir, j'avais mes sai attaché à mes poignets mais je voulais m'entraîner au sabre, même si les sai allaient fortement ralentir mes mouvements à cause de leur poids.

-Alors, la fillette va de nouveau jouer au couteau? ricana bêtement un soldat que je reconnu comme celui ayant été battu à plate couture par Tomo.

Je le snobais, ce qui ne sembla pas lui plaire.

Je retournais vers Tomo et attendis ses explications, j'avais toute la base en tête, me positionnant mieux que certain de ses soldats.

Je me retrouvais souvent les fesse au sol mais me relevais tout le temps, j'arrivais même à parer quelque coup, même si j'étais persuadé que c'était des "cadeaux" de la part de Tomo.

J'y arrivais de mieux en mieux sauf que je perdais de plus en plus patience, devenant beaucoup moins attentif alors que l'autre lourdaud continuait de se moquer de moi.

Certain soldat le suivait d'autre n'en avait rien à faire.

-Je suis sûre qu'elle est mieux au pieu que sur un terrain de combat, ricana-t-il doucement pour pas que Tomo l'entende.

Sauf que moi j'avais entendu.

Et là, j'étais en colère. Mes yeux flamboyais de rage, je parais une attaque de Tomo et me retourna vers lui.

-Ca suffit! Viens te mesurer à moi si tu es si bon que ça! explosais-je.

Il me regarda d'un air supérieure avant de dégainer son arme et de me saluer moqueusement.

Enfoiré, j'allais te foutre la raclé de ta vie!

Je le saluais à mon tour avant de me positionné comme Tomo m'avait montré, gardant un équilibre parfais.

Il fonça sur moi et je parais sans difficulté son coup en me décalant.

-Tu sais fillette, si tu choisis la fuite ce combat va servir à rien! rigola-t-il.

J'allais lui faire bouffer son armure! Je tournais les yeux de côté, agacé!

Heureusement je l'avais déjà observé se battre, j'avais repéré de nombreuse faille!

Il renfonça sur moi et je le contrais de front cette fois, parant son coup avec ma lame.

Les coups fusèrent mais j'avais un meilleur équilibre que lui, il avait la force mais moi l'adresse, je déplaçais à chaque fois mon poids pour le faire vaciller.

Il continuait de me bassiné avec ses moquerie mais je restais calme, je savais comment en finir, il me fallait juste attendre le bon moment.

Maintenant!

Il me lâcha encore un truc et je levais les yeux au ciel, dissimulant du mieux que je pouvais mon sourire.

Je ne levais jamais les yeux au ciel et je savais que si il me voyait le faire il allait attaquer plus fort car c'était un manque de concentration… Ce qui ne manqua pas, nos deux lames s'entrechoquaient et la mienne fut envoyer valser plus loin, se plantant dans le sol.

Il souriait, victorieux, près à abattre son dernier coup, sauf que pas assez rapide.

Je me rapprochais de lui d'un mouvement soupe et rapide, croisant mes sai sous sa gorges.

Et non, il te manquait quinze seconde pour faire ce que tu voulais et en plus tu n'avais plus d'équilibre, tu étais foutu!

-Tu es mort là, non? demandais-je moqueur.

Je me reculais ensuite et tapa mon pied dans son ventre, le faisant tomber à terre.

-La fillette ta battu non?

Je me retournais ensuite pour aller chercher le sabre planté dans la terre, j'avais déjà ranger mes sai.

Je remis l'arme à sa place et retournais au près de Tomo, m'inclinant avant de le regarder droit dans les yeux.

-Je suis désolé, je sais que je n'aurais pas du, mais il m'a énervé là! grognais-je.

Je voulais pas qu'il soit fâcher sur moi…

J'entendais les remarques peux gentil de la part d'un de mes soldats et si Yuya n'avais pas réagis je l'aurais fait iliico presto.

Mais Yuya me devançait, le provoquant en duel. Ah? Ca promettait d'être amusant je crois.

Je mit mon sabre dans l'étau et m'assis, regardant le duel qui se tenait place devant moi. Regardant le jeu de jambe de Yuya où je vit des failles et regardait sa manière de voir les failles. Il y en avait une GRANDE qu'il n'avait pas vu. Dommage. Je lui montrerait.

Le combat était assez drôle des autres domestiques regardant l'agneau et l'ours se battre. L'agneau l'emporta d'une manière très intéressante.

Quand son sabre avait volé, je mettait redressé ayant vu le coup arrivé, ayant dégainer mon arme et était près a intervenir quand bah.... Il sortit certaine armes de ses manches, prenant le grand méchant ours au dépourvu et le battant a plate couture.

Cool.... Très intéressant.

Yuya revint vers moi et s'excusait. Je m'appuyais sur mon sabre, l'autre main sur mes hanches.

- On peut dire oui que c'est une connerie ce que tu as fait mais... Bonne astuce pour voir comment tu débrouilles. Par contre, tu n'as pas vu son plus grand point faible ce qui me désole un peu, alors que je sais que tu analyse tout.

Je déplantait mon sabre du sol et avançais vers mon soldat qui se remit a peine debout. Je tapais sur son sabre a lui, qu'il mit en l'air car je l'invitais a une 'bagarre'
Je souris et au premier coup que soi-disant j'allais lui porter, il fit un mouvement de contrer et je frappais a plat avec ma lame sur le haut de son genoux, le faisant s’effondrer.

- Même un aveugle aurait vu son problème a la jambe. Mais bien tenter le coup et.... Je remontait ses manches, regardant les saies. Tu as des progret a faire avec eux très cher. Tu ne le dégaines pas assez vite encore.

Moi je dégainais mon sabre très rapidement. Trop rapidement pour certain car je réagissais exprès a la dernière minute pour les prendre au dépourvu.

Je lui souris frottant dans ses cheveux pour le décoiffer.
- JE suis quand même assez fière. Continues a t'entraîner tout les jours et gardes donc ton effet de surprise en combat rapproché avec tes sai. Car, quand tu as plus le dessus avec l’arme tu es bien habile pour tuer avec les saies. Bien. On va arrêter ici pour aujourd’hui. Reposes-toi un peu avant de retourner travailler.

Je défis mes protection de sabre et défit la corde autour de mon dos où mon sabre était accroché. Je me dirigeais vers mes autres soldats et attrapait celui qui l'avait traiter de "fill" par la nuque d'un coup, le plaquant contre le mur, l'étranglant presque.

- Toi, tâches encore une fois de le traîter de fille et c'est toi que je transforme en femme en te les coupant un par un, c'est compris? Pareil pour les autres. ET si comme tu dis il est mieux au pieu qu'au combat alors toi t'es une vrai merde au pieu

Je le lâchais ensuite mettant les autres en garde et les ordonnant a continuer de travailler. J'enlevais mon sabre de son étau et mon "équipement" et nettoyait le tout personnellement avant de tout laisser pour celui qui s'occupait des armes pour le ranger.

Je rentrais au château passant par la maison médecin pour aller chercher du désinfectant. JE savais que là il devait être occuper avec mon père donc la bonne heure pour y aller.

Je retournais dans ma chambre et me décidait de faire de cette chambre, NOTRE chambre. J'allais chercher son oreiller et le mit dans mon lit. Je fit un peu de rangement et mis les flacons de désinfectant sur la table pour nos oreilles tantôt.

Je m'allongeais ensuite sur mon lit et attendait que quelqu'un vienne me chercher pour je-ne-sais-pas-quoi.

Il était appuyer sur son sabre, une main sur ses hanches alors que je m'excusais. Parfois… Il m'énervait un peu avec ses manières supérieures, si je ne l'aimais pas… Je pourrais pas le blairer…

Sauf s bien sur c'était parce que je ne pouvais pas le blairer que je l'aimais… enfin soit!

J'écoutais tout ce qu'il avait à me dire sans montrer ce que j'en pensais…

Il me démontra que le gars avait un souci à son genoux… ben oui la dernière fois il lui avait démis… Je n'allais pas attaquer les points blessé quand même? Bon j'avoue je n'ai remarqué que vers le milieu son soucis en regardant son jeux de jambes mais c'est comme attaquer un gars à terre… Je ne pouvais pas…

Par contre je fis la moue quand il me parla de ma vitesse de dégainage… Hey! Ca fait même pas une semaine que j'apprends!

Grrr…

Sauf que… Ma rage disparu aussi tôt qu'il me frotta les cheveux…

Haaan‼ Je suis faible… Snuf…

Je rougi quand il dit qu'il était fière, détournant les yeux. Roooh! Très faible!

Par contre je me figeais au mot "tuer", perdant mes rougeurs et même des couleurs.

C'était vrai… Je devrais tuer un jour… J'eu un haut le cœur et je fus bien heureux qu'il  me laisse disposer car j'avais besoin de me changer les idées.

Je lui offris un sourire crisper avant de faire demi-tour alors qu'il faisait de même… Je me retournais pour voir sa silhouette avant de m'enfoncé dans les bois mais me figea directement alors qu'il avait plaqué le soldat que j'avais défié contre un mur.

Je rougis, c'était quand même pas pour moi que…

Haaaaaaaaaan‼

De l'air! Je me dirigeais en courant vers les bois, m'y enfonçant sans prendre garde avant de m'arrêter, à bout de souffle, m'appuyant contre un arbre, j'avais les yeux fermer et respirais difficilement.

-Je me disais bien que je connaissais cette odeur, par contre tu en porte une autre que je n'aime pas trop…

Je me redressais vivement et regarda mon interlocuteur avant de lui sourire grandement et de lui sauté dans les bras.

-Kame!
-Coucou Tego! me lança-t-il en me réceptionnant dans ses bras.

Kazuya était un ami, et même si je savais qu'il était le prince du royaume adverse je savais qu'il était différent… Il m'avait manqué, ca simplicité et son naturelle m'avait manqué…

-Qu'est ce que tu fais là?
-Même chose que d'hab, une tit fugue, sauf que la je vais au village donner une potion antidouleur qu'un gars trop génial à fait!
-Un gars trop génial? demandais-je, incrédule.
-Roooh, oui je l'adore, il est vraiment… Kyaa! J'adore passer mon temps avec lui-même si il ne me supporte pas!
-Tu craque sur un homme?
-Ben oui, c'est mon ami! Il est vraiment chouette!
-Non , je voulais dire… Laisse tomber… grommelais-je.

Il était toujours commença, plein de vie et… pas très perspicace, mais je l'aimais bien.

-J'ai une odeur que tu n'aime pas? demandais-je, intriguer par ses paroles précédente.
-Nop, du rouge vraiment pure, bon sa ce mélange à merveille avec ton magenta mais c'est le genre de personne que ça pourrais être explosif si elle se retrouvais face à moi! me lança-t-il avec un grand sourire.
-Ca je te le fais pas dire… marmonnais-je.
-Huum?
-Rien! Je t'accompagne?
-Avec plaisir!

Je lui rendis son sourire alors qu'on se dirigeait vers le village. Je me voyais très mal lui expliquer que l'odeur sur moi appartenait au gars qui voulait sa mort à lui et sa famille…

On parla de tout et de rien, il me dit que j'avais l'air mieux qu'avant, je lui expliquais que j'avais changé de maître sans nommé Tomo et lui me raconta qu'il avait testé ma théorie sur les enfants et qu'il avait été agréablement surpris,  se concentra ensuite sur le maniement des arme et il fut surpris que je commence à m'entraîner.

On parla donc des ruses à avoir au combat, il avait un don étrange, il maniait une espèce de corde qu'il gardait toujours à son poignet comme bracelet, il arrivait à étrangler ou assommer des gens avec d'une manière vraiment surprenante, comme si il l'a solidifiait, mais même lui ne savais pas comment il faisait et disais que c'était la vitesse qui donnais cette impression de rigueur a sa corde.

Arriver au village on se sépara sur une étreinte amical.

Je ne savais pas quand j'allais le revoir à nouveau, il était en liberté conditionnel après tout.

Je retournais au château pour rentrer t alla directement vers la chambre. Je fus surpris de retrouver Tomo allongé sur son lit, les yeux fixer au plafond. Je m'approchais doucement de lui avant de grimper à quatre patte sur le lit et de mettre ma tête juste au dessus de la sienne.

-Ca va? demandais-je avec un petit sourire. Bonne aprèm?

Mhhh..... Toute une après-midi a pas faire grand chose....
C'était pas dans mes habitudes.

Même m'endormir j'arrivais pas. Je regardais mon beau plafond, replongeant dans de tas souvenirs. La première fois qu'on s'était rencontré jusqu'à maintenant. Après ce lien qu'on avait fait.

Je frottais sur la boucle d'oreille et eu un sourire tout con. Tout ça pour un stupide lien mit. Non mais je vous jure. Je l'aimais pas moi au début! Alors qu'est-ce qui a fait tout changé hein!!

Sa façons de me saouler, de jouer avec mes nerfs de.... d'être vrai, gentil, attentioné et.... ROH MAIS CA SUFFIT OUI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Je peux plus dire des trucs négatifs ou quoi?

Roh je suis grave atteint là. C'est un sorcier!

Je mettais abttu avec l'air un moment puis me calmait, regardant mon plafond qui avait des drôles de formes. Intéressant a voir. Je m'imaginais plein de petites choses

J'étais tellemetn plongé dans mes pensées que... Je l'avais pas vu ni entendu arrivé.

Quand je vis d'un coup devant moi son visage et qu'il parlait, je sursautais en criant un 'aah' de surrpise.

Je tombais du matelas ayant rouler sur moi-même sous la surprise de l'avoir LUI a côté de moi alors que je pensais a lui justement.

Je tombais dans un gros boum et dit un petit 'aie' avant de m'asseoire, grimaçant.
Quel idiot je suis alors!!! Sursauter bêtement comme ça.

Je grognais, me relevant pour me tirer sur le lit. Je me couchais sur le lit une main dans mon dos. Pourquoi le sol était si dur? Hein pourquoi?

- MMfoui cha fa...

traduction: oui ça va....

J'avais mon visage dans le coussin tout en disant ma belle phrase tout longue de sens dis donc. WOW! Je pouvais être poète!

Quel idée aussi d'apparaitre comme ça sans dire un mot ni faire de bruit! Ange démoniaque! Je l'avais dis qu'il en était un. Je soupirais dans le coussin. J'allais le faire voler si ça continue. Pauvre coussin.

Il sursauta en criant et se cracha par terre, je ne pu retenir le fou rire qui m'envahis. Bon sang, regarder le prince s'étaler lamentablement grâce à moi était vraiment risible!

Il grogna, me calmant quelque peu avant de se traîner vers le lit, s'installant a plat ventre une main dans son dos, la tête sur l'oreiller… Attendrissant.

Mon cœur rata un battement.

Il me dit que ça allait et je souris doucement.

Baaah, il était tombé à cause de moi, non? Je me devais de le soulager?

Je me mis à genoux à coter de lui et commença de lent effleurage à travers le tissus sur son dos, je n'osais pas le lui enlever donc je ferais avec.

Avec des mouvements habile et souple, quoi qu'avec un peu de difficulté à cause de sa chemise je massais son dos, m'attardant sur la zone qui aurais pu lui faire le plus mal car il était tombé dessus.

Une étrange chaleur s'insinua en moi alors qu'un pensée me vrillait le crâne… Je touchais l'homme que j'aimais…

Kyaaaaa!

Tout ce qu'il fit lui c'est explosé de rire a mon crache par terre. Ouais c'est ça marre toi, n'empêche que ça fait pas du bien. Je vais te le fair voir si tu continues a rire.

Mais il arrêta donc je pouvais plus le foutre par terre a mon tour. Grrrr...

Je lui dit que ça allait en grognant. Méchant pas beau! Enf ait si très beau mais on s'en fou!
Je sentais des genoux près de moi et je tournais que très peu mon visag pour que puisse le voir d'un oeil.

Il me massait et.... Etrangement ce serait bien mieux sans tissus. Je voulais sentir ses mains sur moi... J'en avais envie.

- Merci mais ce serait plus facile sans ma chemise

Je retins de justesse le mot 'banane' que je voulu dire a la fin de ma phrase. Et soulevait ma chemise de mes hanches.

Je vais le laisser faire le reste tient!

Help meeeeee! Non, j'allais mourir, sans chemise?

Je me sentis rougir comme pas possible mais bon, je n'allais pas cacher que moi aussi j'en avais envie…

Il se souleva légèrement pour dégager la chemise de ses hanche puis… plus rien.

Cool… C'était pour ma poire, je pris une grande inspiration silencieuse et me permis de faire glisser mes main sous lui pour détacher les boutons de sa chemise pour la retirer avec plus de facilité.

Une fois le morceau de tissus disparu je bénis je ne sais quoi qu'il était dos à moi, le voir comme ça me faisais un drôle d'effet…

J'avais chaud partout et je tremblais et ne parlons pas de mon cœur qui partait en vrille!

Je reposais mes mains sur sn dos et recommença mes effleura pour délier certain muscle, les lissant pour effacer les nœuds.

Roooh, en plus sa peau était douce…

Huhuhu, je me sentais vraiment bizarre au fur et à mesure que mes mains courais sur son dos.

Quand je sentais ses mains passer sous moi, j'eus un sourire satisfait, fermant les yeux pour sentir le toucher encore plus contre moi.

Il defit mes boutons et mon sourire fier disparut pour un plus doux de bien-être. C'était agréable de le sentir me toucher comme ça. Il enlevait ma chemise et se remit a me masser.

Han purée.Ca faisait du bien!!!! Je soupirais, mettant ma tête surle côté sur mes bras et fermait les yeux pour profiter un max de ce qu'il me faisait.

Ses mains était douce, sans brusquerie et c'était.... un vrai délice sur moi. Ca ne me réveillait pas plus bas, mais ça réveillait mon coeur dans ma poitrine.

Si il faisait ça a celle qu'il aime... Je rouvris mes yeux, regardant en face de moi. Oui, il pouvait tomber amoureux de n'importe qui et n'importe quand. Je ne pourrais rien y faire, sauf l'enfermer de force dans une tour mais il avait sa vie. je ne pouvais lui en priver.

- Dis-moi? Que feras-tu quand... tu trouveras quelqu'un que tu aimes?

Je me perdais moi-même en fait dans ma question, quel idiot!!

- Enfin je veux dire.... Tu n'as jamais embrassé donc... J'en conclus que tu n'a jamais eu quelqu'un, ne?

Je me relevais un peu pour le regarder puis me recouchait sur mes bras, pour qu'il continue a me masser.

- Laisse, tu dois pas répondre. Ce ne sont pas mes affaires ou comme tu le dis, ce ne sont pas les affaires de mon Royal derrière.

Je ris moi-même et me recouchait correctement, refermant les yeux pour profiter de son toucher sur moi.J'en profiterais un max avant qu'il ne parte batifoller ailleurs.

Je soupirais d'aise quand ilvint près de la chute de mes reins. JE retins quand même un gémissement, manquait plus que je fase ça tient!

Il soupira sous mon massage, me faisant encore plus rougir.

Haaan, à quoi je pensais moi? C'était qu'un massage, rien qui ne devrait m'émouvoir!

Sa question me figea complètement, j'eu un temps d'arrêt sur son dos avant de repartir.

J'avais déjà trouvé la personne que j'aimais… Mais c'était impossible, d'abord car c'était le futur ri et ensuite car j'étais un homme…

Je baissais la tête à sa question suivante. Ben non, j'avais jamais eu personne, je n'étais pas intéressé et comme maintenant j'était amoureux de lui… J'allais surement rester seul… à ses côté.

Il se redressa pour me regarder et je baissais la tête pour pas qu'il puisse voir mes joues cramoisies…

Il se rallongea sur ses bras, me demandant de laisser tomber, qu'il s'occupera de son royal derrière.

Je ricanais légèrement, ma gêne partant un peu.

Est-ce que je me sentirais libéré si je lui racontais une part de vérité? Baaah, il ne comprendrait surement pas…

-Tu sais… Je resterais près de toi, de toute manière je suis sûr de tomber amoureux de la mauvaise personne donc… je vais me contenter de cette place car j'aime vraiment être auprès de toi… Mais ca va changer quand toi tu trouvera la perle rare tu va être occupé par elle et les héritier que vous aurez…

Ma voix se brisa légèrement vers la fin de ma tirade, je en savais même pas que cette idée me préoccupais… Je me raclais la gorge pour qu'il croie à un enrouement plutôt qu'a autre chose…

C'était malin ça! J'avais mal au cœur maintenant…

- Alors si tu en es sur, ne tombe pas amoureux d'elle.

Dis-je en reponse au fait qu'il aimera la mauvaise personne. Si il le savait, il savait aller contre.

Mais ce qu'il me dit était bien. J'étais content qu'il restera auprès de moi. J'en souris et refermait les yeux pour profiter du bon petit massage.

Sa phrase était étrange a la fin, en parlant de ma futur femme et de mes descendants. Mouais... C'est vrai que j'en aurai plus tard mais bon... Par pou rmaintenant et puis... C'est lui que je voulais en fait.

Je me retournais sur le côté et vint toucher son visage pour qu'il me regarde.

- He? C'est dasn très longtemps, ne t'inquiètes pas. Et puis... Si tu me quittes, je retornes ciel et etrre et je t'enchaine. Tu resteras mon valet pour toujours ok!?

Je caressait son oreille, touchant la boucle d'oreille et lui sourit. Je ferais un trou que pour lui, pas pour quelqu'un dautre. Un point c'est tout.

- Vient là...

J'avais entendu sa peine dans la voix et je ne pu que lu idonner ce qu'un frère, un ami pouvait donner. Car... J'était le prince, lui le valet et il était un garçon. Compliqué et puis, il ne m'aimait peut-êtr epas comme oi je l'aimais.

Je le pris dans mes bras et nous allongeait dans mon lit. Je caressait son dos qui géurrisait bien tout seul et ses cheveux, déposant une fois mes lèvres sur ses cheveux.

- Tu es mon valet alors essaye de t'enfuir et je te jure que tu va regretter d'être né tiens.

Désolé, je suis comme ça j'ai pa pu m'en empecher. Et puis, il me connaissait bie pour cela donc. Pas de problème je crois.

Je le tint dans mes bras, et ça je le ferais longtemps encore, jusqu'à ce que ce soit lui qui parte. L'avenir nous le dira, pour le moment on a juste a faire passer le présent et en profiter.

Trop tard ça pensais-je amèrement…

Arf, je me sentais mal là…

Il se retourna et me toucha le visage pour que je le regarde… J'essayais tant bien que mal de ne pas montré ma douleur…

Très longtemps?  C'est pas assez pour moi… C'est ben trop proche… Savoir que la personne qu'on aime devra se marié et avoir une progéniture… C'était douloureux…

Je souris amèrement quand il me dit que je serais toujours son valet… Baah, si je survis à une douleur comme ça pourquoi pas? Hein?

Il caressa mon oreille… La boucle d'oreille en fait, montrant notre lien…

Il me dit de venir et me prit dans ses bras en nous allongeant.

Je l'enlaçais, comme si je m'accrochais à une bouée en fait.

Mon cœur me faisait affreusement mal sur le coup…

Il me caressa mon dos et embrassa mes cheveux me faisant frissonner…

Je ricanais à sa réplique…

-Faudrait d'abord que tu me rattrape, lâchais-je, taquin, essayant de faire passer mon chagrin avec de l'humour.

Je me serrais contre lui, je laissais une larme couler alors que je m'endormais dans son étreinte, recevant le contre coup de ma colère et de mon activité physique de a journée.

Haan, qu'est ce que j'étais bien là au creux de ses bras.

A l'aube de l'inconscience je laissai passer des paroles dont je ne me souviendrais surement pas, laissant sortir toute mes faiblesses et montrant que je m'étais bien trop attaché à lui.

Mais c'était tellement bas que si on ne faisait pas attention on n'entendait pas.

-Tomo… ne m'abandonne pas…

Je le vis avoir quand même mal a ce que je dis et voulait bien savoir lire dans les pensées comme Jin et savoir a quoi il pensait.

Je le gardait dans mes bras, caressant ses cheveux et son dos tendrement.
L'avoir dans mes bras me faisait du bien et au tout début que je le connaissais, j'aurais jamais accepter ce toucher de sa part. je l'aurais expulser a travers la pièce lui criant des monstruosité et des lui faisant en voir de toutes les couleurs

Il rit a m réplique et je ris aussi.
- T’inquiètes, mes jambes sont encore très valide et je suis rapide. Au pire, je t'attrapes au lasso!

J'en ris, le prenant encore plus fort contre moi.

Je sentais un truc mouiller sur moi et me reculait un peu pour le regarder. Il pleurait?

Ce qu'il dit ensuite me fit dire que oui. Abandonner? Non je le ferais pas. Je le resserrais dans mes bras plus fort encore et calais son visage contre mon épaule.

- Je ne t'abandonnerais jamais, crois-moi. Rien ne nous sépareras, jamais.

Je ceressais son visage durant quelque heures, ne trouvant pas directement le sommeil. Je voulais savoir pourquoi il avait dit ça. Est-ce que quand il était petit il s'était fait abandonner? Que représentais-je pour lui?

Je m'endormis sur l'idée qu'au moins si moi je savais ce que je ressentais pour lui c'était bien assez.

Je me réveillais le premier aussi et je regardait son visage dormir. Je souris; Il était vraiment trop mignon comme ça. J'enprofitais qu'il dorme pour lui mettre du désinfectant sur l'oreille et sur la mienne et sourit contre lui.

Je me dégageais de lui, redéposant sa tête délicatement sur le coussin. Je pris un bout de papier et y griffonait, oui grifonner car j'écris de la main gauche, oublions pas. MA main droite ne sait pas écrire.

Je mit :
- Salut belle au bois dormant. Je suis partit préparer les docuements et les resceptifs du bal. Tu as quartier libre pour le moment. Mais reste pas loin, on ne sait jamais que mon dos a besoin d'un massage.
A toute!

Je mit le mot sur la table de chevet avec un verre de lait que j'avais demander. Je m'habillais digne d'un prince en train de s'occuper de tout et sortit pour aller régler tout ce que j'avais a régler. Je ne vis pas vraiment le temps passé, devant travailler auprès de mon père sans lui montrer une seule attention. Je fit mon devoir, lui le sien, point barre, ça s'arrête là!

Quand l'après-midi sonnait, je me pris un peu du temps, pour vouloir emmener Yuya voir quelqu'un. Je voulais lui présenter une chose qui m'était précieux, que je voulais qu'il s'en occupe a son tour.

Je dormais profondément et me réveilla… seul.

Roooh! Il était partit sans me prévenir!

Ah! Si… Un mot…

Belle au bois dormant, j'allais lui en foutre des belles moi! Et prochain massage je lui casse le dos! Malgré tout son mot me donna le sourire pour toute la mâtiné.

Comme j'avais rien à faire je m'entraînais toute la matinée et le début de l'après midi aux sai.

Essayant de les dégainer de plus en plus vite et de plus en plus précis, revoyant mon jeux de jambes encore et encore, refaisant les kata.

Je pris une pause d'une heure avant de reprendre, perfectionnant mes jeux de bras.

J'arrivais au maximum et m'écroulais par terre.

Haaan! J'étais HS!

Je demandais a beaucoup de personne où il était car je le trouvais pas.

Raaaaaaaaahh!! Il est passé cet idiot!!! J'ai pas que ça a faire!!!

J'allais repartir bredouille avant de le voir plus loin. TROUVER!!!!

Je marchais jusque lui et le regardait.

- Fatiguez? Dis tu pouvais pas te cacher encore plus pour que je te trovues pas? Ca fait des heures queje te cherches!! Bon viens, je dois te montrer un truc.

J'attrpais son poinget et lui laissait pas le choix de me suivre. Je l'emmenait aux écuries et lui montrait un boxe. Le maréchal sortit précitpité du boxe et on entendit des coups de pieds.

Aha, il a essayé comme tout les jours. Pas facile hein avec lui hein.

Je me mit derrière Yuya et l'emmenait a ce box. A l'intérieur, il y avait un cheval blanc... Blesser mais géuris. Celui de mon frère décedé.

J'ouvris le boxe et le cheval se mit au fond, montant la tête pour nous regarder. Il me reconnut mais je pouvais avancer de beaucoup non plus. Il y avait une limite.

J'avançais poussant Yuya en avant et le cheval s'excitait un peu, reculant, nous regardant comme un danger.

- Yuya... Je te présentes Bora. Le cheval de mon frère... Ton cheval maintenant.

Je lâchais ses épaules et reculait. Le cheval le regardait d'abord avec méfiance puis... Ce que je doutais arrivait. Le cheval vient près de lui, tendant d'abord son cou. Je pris la main de Yuya discrètement et lui passait une pomme.

Bora le regardait, attendant quelque chose.

Je m'étais dit que Yuya avai d être fortement blesser en lui, comme l'était Bora. Ils étaient pareil. L'intérieur et 'extérieur blesser, des cicatrices montrant leur passé douloureux. Ils ne pouvaient que s'entendre. Bora était seul depuis la mort de son maitre et personne ne pouvait l'approcher, sauf moi par moment. Elle refusait d'être monter, touché ou quoi que ce soit. Elle pouvait mordre et même frapper avec ces sabots.

Elle avait du caractère. Comme lui...

Je reculais encore, laissant Bora avancer a sa guise vers lui. Je retais là si jamais elle décidait d'un coup se cambrer. Elle avait de ses humeurs par moment. Mais... Normalent ça ira. C'est lu après tout. Il géuris tout les maux des personne qu'il touche.

Y comprit moi.

Oui salut, moi aussi je vais bien… Bien dormis? Moi super! Me suis réveiller seul la vie est belle…

Enfoiré! Un peu de douceur ne ferait pas de mal, pas besoin de me tirer comme un sac!

Mais je me laissais me tirer, trop fatiguer pour faire de mon nez, surtout qu'il avait l'air enthousiaste à l'idée de me montré un truc…

C'est pas comme si j'avais rien foutu de ma matinée, moins vite prince débile!

Il m'emmena vers l'écurie et je me figeais, il se foutait de moi là hein?

Surtout qu'il y avait un gars qui s'enfuyais en courant du boxe ou nous on se dirigeais. Naoooooon!!

Surtout qu'il avait pas l'air commode le cheval avec les bruits que j'entendais…

Il ouvrit le boxe et je vis un magnifique cheval se reculer vers le fond.

Tomo me poussa pour m'avancer malgré que je freinais des quatre fer.

Non mais il avait oublié ou quoi? Peur des cheveux… enfin presque, je les aimais pas quoi, surtout quand il avait l'air d'être dangereux…

Un peu comme celui là par exemple!

Je m'immobilisais quand il me présenta le cheval comme l'ancien de son frère et le nouveau de… moi…

Heiiin?

Je le regardais enfin vraiment, n'essayant plus de m'enfouir. Lui? Mon cheval à moi?

-Mais il va me transformer en bouilli! couinais-je.

Il me lâcha mais je n'arrivais plus à faire un seul mouvement, envouté par le regard de cette bête qui me jugeait…

Il s'approcha et je retins mon souffle, près à prendre la poudre d'escampette si jamais il faisait un mouvement pour m'attaquer.

Tomo prit ma main et posa quelque chose dedans mais je ne regardais pas, trop pris par son regard.

Un regard qui se méfie de tout, qui a trop vécu… Qui à trop souffert… le même regard que je croisais sans cesse dans la glace…

Je laissais tomber se que Tomo m'avait mit entre mes main. C'était trop bizarre de rencontrer exactement le même regard meurtri que le sien.

Il avait sursauté avant de me regarder avec encore plus de méfiance.

Je tendis doucement la main et m'avança d'un pas avant de m'immobiliser complètement, attendant qu'il fasse le deuxième pas…

Ce qu'il fit au bout d'un loooooong moment, avançant la tête pour venir me sniffer la main.

Elle la tripota avant d'avancer légèrement. Je posais alors doucement mes doigts sur son épaule, la regardant droit dans les yeux.

C'était étrange… Vraiment, je me sentais apaiser, comme compris…

Je remontais légèrement sur l'encolure, la regardant toujours droit dans les yeux, sans bouger, gardant ma main là.

Elle ne bougeait pas non plus, me regardant seulement.

Je passais ensuite ma main vers sa joue, caressant doucement, presque tendrement.

Je souris en la voyant fermer les yeux, je passais alors doucement ma main sur son front, posant l'autre sur sa joue.

Je n'avais pas peur.

Je me doutais bien qu'il allait freiner le pas pour aller vers le cheval qui faisait un bruit de dingue tout seul dans le boxe. Mais je sais aussi qu'il allait pouvoir aider ce cheval. Ils étaient fait l'un pour l'autre et je le sentais. Même yeux, même compréhension.

- Il te transformera pas en bouillie. Je suis là.

Je lui souris pour le rassurer un peu.

Je vis toute la scène se faire devant moi. Quand il lâchait la pomme, j'étais près a sauter en avant pour le tirer en arrière si elle se serait cambrer par peur. Mais elle ne fit rien, regardant juste Yuya qui était.... hypnotisé par elle apparemment.

Elle vint elle-même vers lui et je sourit face a la scène que je vis. Ca y est.... J'avais trouvé quelqu'un pour elle. J'avais trouvé la personne qu'il lui fallait, qui la comprendrait.

Il pouvait enfin la toucher et je décidait de m'approcher a mon tour. JE déposais ma main sur l'épaule de Yuya et lui sourit.

Je mit ma main sur la sienne sur son front et y mit plus de pression dans la caresses.

- Ça fait un massage pour les chevaux. C'est le seul endroit qu'il ne savent pas gratter ni les autres chevaux entre eux.

Je mit ma main dans son dos m'approchant d'elle, et elle soupira. Elle était bien. Ça faisait longtemps.

Je pris sa main sur sa joue et l'emmenait avec sur le cou du cheval, son épaule, son dos.

- Elle a été blesser ce jour là. Elle a essayé de sauver son maître alors ils ont essayé de la tuer. D'où ses cicatrices sur elle.... Je te la donnes car tu es comme elle. Vous vous ressemblez. Elle sera bien avec toi. Prends en soin.

J'emmenais sa main sur une cicatrices a la jambe, sur son dos entre ses omoplates. Elle avait été blessé et elle est rentré avec son maître au château, se laissant aller. J'étais venu la voir, car on avait la même peine. On avait perdu la personne qu'on aimait le plus au monde, d'une façon inattendu et on était blessé.

Mais on avait pas la même chose en commun. Lui et elle oui. Elle gardait des marques de maltraitance. Elle gardait une blessure en elle et elle restait méfiante de tout. Ne se laissant qu'approcher de tout près par moi et maintenant lui, qui sera son maître. Son ami.